Culture, organisation sociale et religion sont intimement imbriqués chez les peuples de culture tibétaine.
La culture tibétaine règle de nombreux aspect de la vie marquée par les conditions géographiques difficile. La faible densité de population, la pauvreté des sols, le nomadisme sont à l’ origine d’une organisation restée encore proche du féodalisme. La religion occupe une place prépondérante en particulier par la présence de nombreux monastères accueillant les enfants des familles nombreuses.
Au cours des siècles, le Tibet a développé une civilisation originale, d'une étonnante richesse culturelle, et qui s'est édifiée autour du pouvoir religieux et des grands monastères. La culture tibétaine a pour fondement le bouddhisme, dont l'origine au Tibet est principalement indienne. Pendant plus de mille ans, les Tibetains ont conservé cet héritage culturel, qu'ils ont partagé avec d'autres ...
La société traditionnelle tibétaine, telle qu'elle existait avant les réformes mises en place par le gouvernement communiste chinois dans les années 1950, est souvent comparée à la société féodale de ...
Les tibétains sans doute originaire de la région Mongole, seraient issus des peuples Qiang (K’iang). La naissance de l’identité tibétaine se confond dans la légende. Elle commence à apparaître sous u ...
Selon la mythologie, c’est la vallée de Yarlung, au sud de Lhassa, qui vit naitre les tibétains. C’est là que vécurent les premiers rois avant de décider de s’installer à Lhassa puis dans la forteres ...
Une minorité se définie dans un contexte, non de manière absolue. Elle peut être analysée par rapport à de la population d’une nation, d’une zone géographique, du point de vue des religions, des langues, de la culture ou de la race, de la couleur de peau, des liens de parenté…
L’appréciation en est variable selon le lieu et l’époque.
La supériorité du nombre est vue comme une hiérarchie, une supériorité de la majorité. Dans l’histoire il est peu d’exemple de minorités qui n’aient pas été marginalisées, persécutés, assimilés de force, voire physiquement éliminées.
La minorité ne l’est cependant pas toujours en nombre. Le colonisateur considéra souvent les indigènes comme des races inférieures.
La constitution des états nation moderne à souvent contribué à les révéler et à en aggraver le sort par rapport à la relative tolérance observée autrefois par les Empires. (Comme l’était les Ottomans ou les Austro-Hongrois par exemple)
La définition des minorités dépend des stratégies de la minorité elle-même, soit par son rôle géopolitique, économique, culturel. (Les juifs, les Arméniens,Touareg…)
Une minorité est aussi une catégorie sociale définie par discrimination : les homosexuels, les femmes, les gens du voyage.
L’ethnographie est la science de l'anthropologie dont l'objet est l'étude descriptive et analytique, sur le terrain, des mœurs et des coutumes de populations déterminées. Cette étude était autrefois cantonnée aux populations dites alors « primitives ».
L’ethnographie est l’étape de collecte des données, l’ethnologie le stade des premières synthèses, l’anthropologie
etude de la vie sociale de l'ethnie des Asmat en Papouasie indonésienne
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