Sans clivage marqué du point de vue de la géographie physique ou climatique, c’est selon la géographie politique que se distinguent les régions de l’Océanie éloignée, modelées par les occupations coloniales anglaises, françaises, puis américaines.
La totalité de la population de l’Océanie éloignée ne dépasse que de peu les 8 millions d’habitants, avec la nouvelle Zélande et Hawai qui en représentent presque 6 millions à elles deux. Le nombre pour le reste des entités varie de quelques dizaines d’habitants à quelques centaines de milliers seulement.
Nouvelle Zélande (4 470 800 hab. 2013)
Îles Cook (lié à la Nouvelle Zélande) (13 400 hab.)
Fidji (837 2711 hab.)
Kiribati (110 356 hab.)
Îles Marshall (63 174 hab.)
Micronésie (107 665 hab.)
Niue (lié à la Nouvelle Zélande) (1 492 hab.)
Palaos (20 842 hab.)
Samoa (184 032 hab.)
Tonga (119 009 hab.)
Vanuatu (261 565 hab.)
Tuvalu (12 177 hab.)
Polynésie française (268 270 hab. 2012)
Wallis & Futuna (13 500 hab – 2008)
Nouvelle Calédonie (245 580 hab. - 2009)
Hawaï (1 360 301 hab. - 2010)
Guam (159 358 hab. -2010)
Mariannes du nord (53 883 hab. 2010)
Samoa américaines (55 519 hab. 2010)
Wake (150 hab - 2010)
Atoll Johnston (inhabité: poubelle nucléaire et chimique)
Midway (40 à 60 hab)
Norfolk (2300 hab. – 2011)
Tokelau (1200 hab -2013)
Pitcairn (67 hab. - 2011) des descendants du Bounty !
Île de Pâques (5 167 hab. -2012)