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  6. Culture tibétaine

Culture, organisation sociale et religion sont intimement imbriqués chez les peuples de culture tibétaine.

La culture tibétaine règle de nombreux aspect de la vie marquée par les conditions géographiques difficile. La faible densité de population, la pauvreté des sols, le nomadisme sont à l’ origine d’une organisation restée encore proche du féodalisme. La religion occupe une place prépondérante en particulier par la présence de nombreux monastères accueillant les enfants  des familles nombreuses. 

Tsurphu puja 1

Fondements de la culture tibétaine

Au cours des siècles, le Tibet a développé une civilisation originale, d'une étonnante richesse culturelle, et qui s'est édifiée autour du pouvoir religieux et des grands monastères.

dans la province du Quinghai.

La culture tibétaine a pour fondement le bouddhisme, dont l'origine au Tibet est principalement indienne. Pendant plus de mille ans, les Tibetains ont conservé cet héritage culturel, qu'ils ont partagé avec d'autres pays voisins, dont la Chine. L'église lamaïste est une création unique tibétaine dont l'influence s'est étendue jusqu'à Pékin et à la Volga.

Bien que le Tibet apparaisse comme un pays de moines pacifiques, il n'en est pas moins un peuple de farouche guerrier. Son armée réussira par exemple à contenir l'expansion chinoise durant près de deux cents ans, du VII au IX siècle.

avec son épée traditionnelle

Jusqu'au milieu du XXème siècle, la population, était formée pour sa plus grande part, d'agriculteurs et d'éleveurs. Le clergé tenait une place importante et une élite aristocratique peu nombreuse occupait les postes de l'administration. L'organisation sociale s'apparentait à celle de la Féodalité du moyen âge occidental. L'influence chinoise a été notable au demeurant dans la constitution des institutions politiques

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Tibétains – l’ancienne organisation sociale

La société traditionnelle tibétaine, telle qu'elle existait avant les réformes mises en place par le gouvernement communiste chinois dans les années 1950, est souvent comparée à la société féodale de l'Europe médiévale.

Dans le Tibet central sous administration de Lhassa, l’organisation sociale était fondée sur une structure fortement inégalitaire, dominée par une élite aristocratique héréditaire constituée d'environ deux cents familles des provinces de Ü et de Tsang, qui représentaient environ 5 % de la population. Les 95 % restants étaient constitués de paysans sédentaires ou semi-nomades et de pasteurs transhumants, ainsi que d'artisans, de commerçants et de professions diverses, parfois méprisées comme celles de forgeron ou de boucher. Une petite proportion (5% des tibétains) avait un statut proche de celui d’esclave. Il s’agissait de personnes ayant accumulé des dettes non remboursables ou des individus pris chez des peuples frontaliers qui payaient des tributs ainsi. Leur situation était généralement héréditaire.

Dans les régions périphériques que le pouvoir temporel de Lhassa n'atteignait que difficilement ou pas du tout, le pouvoir était le plus souvent exercé directement par les seigneurs ou les monastères locaux.

défilé a la fête de Yushu

Le clergé était surtout constitué de moines issus de la population courante et de quelques aristocrates. Il a représenté jusqu'à 15% de la population du Tibet central. Il était fréquent que le deuxième fils de la famille soit envoyé au monastère à la fois pour des raisons économiques mais et également afin d’acquérir des mérites.

Les terres appartenant aux monastères ou aux aristocrates comprenaient le plus souvent une partie allouée par le propriétaire à des familles pour qu'elles les cultivent, et un domaine que celui-ci gérait directement et dont il conservait la totalité des revenus, la culture en étant assurée gratuitement par le biais des corvées.

Pour ne pas disséminer le patrimoine, en particulier dans l’aristocratie, la polyandrie pouvait être pratiquée. (Une femme épouse un homme, et les frères)

Certains paysans tibétains possédaient des terres en bien propre. Cette catégorie de la population payait des impôts à l’état tibétain, rarement acquitté en argent, mais le plus souvent en service.

Les familles nomades n'étaient pas propriétaires des terres qu'elles utilisaient, mais en revanche étaient propriétaires de leurs troupeaux et de leurs tentes.

Dri est le nom de la femelle du Yak

source partielle:  http://fr.wikipedia.org/wiki/Soci%C3%A9t%C3%A9_tib%C3%A9taine

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Histoire du Tibet en bref

Les tibétains sans doute originaire de la région Mongole, seraient issus des peuples Qiang (K’iang).

La naissance de l’identité tibétaine se confond dans la légende. Elle commence à apparaître sous un souverain probablement originaire d’Inde. Il fonda la dynastie des sept rois mythiques. Le fondateur de la seconde dynastie, lui, aurait favorisé et répandu la doctrine du bon-po : la religion empreinte de chamanisme dont des traces persistent encore.

berceau de la culture tibétaine

L’affirmation d’un pouvoir centralisé au Tibet naîtra vers le VII siècle. Un prince du nom de Nammri, maître de la forteresse Yumbulagang de la vallée du Yarlung, au sud de Lhassa profite des rébellions au sein des principautés proches pour se proclamer suzerain de neuf seigneurs locaux. Ses victoires le rendent maître de la région du Tsang et c’est à ce roi que le Tibet doit ses premières relations diplomatiques officielles avec la Chine en l’an 608.

Songtsen Gampo arrivera au pouvoir de 629 à 658. Il contribuera à l’introduction du Bouddhisme venue avec d’Inde en remplaçant ou intégrant le bon-po. Il précisera les relations avec l’empire du Milieu naissant permettant à son peuple d’acquérir un raffinement qui leur était jusqu’alors inconnu. C’est aussi durant son règne que la capitale, Lhassa, verra le jour avec un château qui deviendra le Potala.

Après cette période éphémère, le Bouddhisme disparaitra quasiment car il ne s’était pas ancré suffisamment auprès du peuple et les seigneurs de guerre reprendront leur indépendance.

L’histoire du Tibet sera ensuite profondément liée à la domination militaire nécessaire afin d’avoir le contrôle sur la route de la soie reliant Samarcande à Xi'An . Sa domination en sera disputée bien au-delà du Tibet, par les Turcs, les Chinois (Han) et plus tard les Musulmans, engendrant inévitablement une série de conflits entre les trois puissances.

Le Bouddhisme se diffusa à nouveau au Tibet à partir du VIIIème siècle depuis l’ouest d’une part, avec l’arrivée de populations bouddhistes soumises à la  pression musulmane et de l’est d’autre part, dans sa forme Vajrayana issue du Bouddhisme Mahayana (grand Véhicule) qui avait atteint la Chine par voie maritime. Les principales écoles et grand monastères commenceront à se constituer autour du Xème siècle.

premier temple bouddhiste construit au Tibet édifié par le roi Songtsen Gampo au début de l'année 639 pour fêter son mariage avec la princesse Tang chinoise Wencheng, une bouddhiste

A partir du XIII, l’histoire du Tibet se confondra pour un temps à celle de la Mongolie puisque le pays fera partie des conquêtes de Gengis Khan. Les relations qui se développèrent et continuèrent d’exister jusqu’au vingtième siècle entre les Mongols et les Tibétains étaient un reflet d’une étroite affinité raciale, culturelle et religieuse entre les deux peuples d’Asie centrale. L’Empire mongol était un empire mondial et quelles que fussent les relations entre ses gouvernants et les Tibétains, les Mongols n’intégrèrent jamais l’administration du Tibet et celle de la Chine.

Au XVe siècle se forme une théocratie lamaïste avec deux chefs spirituels et temporels : le dalaï-lama et le panchen-lama. Au XVIIe siècle, le dalaï-lama prédomine.

Au XVIIIième siècle certains puissants empereurs mandchous réussirent à exercer un degré d’influence sur le Tibet. C’est ainsi que de 1720 à 1792, les empereurs Kangxi, Yong Zhen et Qianlong envoyèrent à quatre reprises des troupes impériales au Tibet afin de protéger le Dalaï Lama et le peuple tibétain des invasions mongoles, Gorkhas mais aussi d’éventuels troubles internes. Ces expéditions donnèrent aux empereurs les moyens d’établir leur influence sur le Tibet. La situation n’était pas différente de celle qui peut exister entre une superpuissance et un pays satellite ou protectorat, c’est-à-dire une situation n’annulant pas l’indépendance politique de l’Etat faible. Le Tibet n’était pas annexé à l’Empire mandchou, et continua de conduire ses relations avec les Etats voisins de façon autonome tant que cela ne contrevenait pas aux intérêts Chinois.

L’empire du milieu manifesta plus d’intérêt pour le Tibet des lors que les Anglais d’une part et les Russes d’autre part commencèrent au 19ieme siècle à avoir des vues sur les territoires d’Asie centrale dans l’espoir d’atteindre le marché Chinois ou d’en affaiblir le pouvoir central. Les britanniques envahirent pendant une brève période Lhassa et conclurent un traité bilatéral avec le Tibet : la Convention de Lhassa. En dépit de cette perte d’influence, le gouvernement impérial de Pékin continua de revendiquer une certaine autorité sur le Tibet, notamment s’agissant des relations internationales ; une autorité que le gouvernement impérial britannique désigna sous le terme de "suzeraineté" dans ses pourparlers avec Pékin et Saint-Pétersbourg.

L’émergence du concept « d’état nation », aux frontières précises, régies selon un droit occidental, conduisit les Chinois à clarifier leurs relations internationales. Mais dans une période où les guerres de l’opium avaient déjà fortement affaibli le pouvoir central et fait le lit des révolutions du début puis du milieu du XXème siècle, les relations de l’empire avec ses voisins et/ou ses ex suzerains fut affaiblie et ambigu.

Le moment décisif dans l’histoire du Tibet eut lieu en 1949, lorsque l’Armée populaire de libération de la RPC pénétra pour la première fois au Tibet. Après avoir défait la petite armée tibétaine et avoir occupé la moitié du pays, le gouvernement chinois, en mai 1951, imposa au gouvernement tibétain un accord non reconnu, en 17 points, pour la  « libération pacifique du Tibet ».

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Lhassa

Le Potala de Lhassa

Selon la mythologie, c’est la vallée de Yarlung, au sud de Lhassa, qui vit naitre les tibétains. C’est là que vécurent les premiers rois avant de décider de s’installer à Lhassa puis dans la forteresse qui deviendra le Potala.

La construction la ville commença au VIIème siècle par celle du palais du roi Songtsan Gampo aux abords du lac de Wotan dans lequel se jetait la rivière Lhassa. La princesse Wencheng décida d’y construire l’un des premiers grands temples bouddhiques afin de dompter le cœur du diable qu’elle voyait dans le lac. Elle le fit donc combler par de la terre portée à dos de chèvres blanches. Ce fut  alors la construction du temple de Jokhang en 651. C’est le plus ancien du pays.  La ville se développa d’abord autour du palais et de son temple.

 Intérieur du Jokhang ( avec photo du Dalaï Lama en 1995)

Lhassa, qui veut dire "l’endroit des dieux", est ainsi toujours associé à la naissance du bouddhisme tibétain. La ville deviendra la capitale spirituelle et politique du Tibet.

Le Potala

Le Potala  de Lhassa, construit à partir du XVIIe siècle sur un éperon rocheux près de la ville,  est le palais emblématique de Lhassa. C'était à la fois la demeure du Dalaï lama, un monastère et le siège de l'administration gouvernementale. On estime que plus de 1500 personnes pouvaient y vivre. Le Potala renferme les mausolées de 8 Dalaï Lama. Il est aujourd'hui  musé national, et fut épargné des pillages lors de la révolution culturelle.

Le Potala, à la fois palais et forteresse, est un imposant édifice construit sur treize niveaux, qui présente une façade de 400 mètres de long. Constitué d'une partie centrale, le palais Blanc, et le palais Rouge qui le surmonte, auxquels viennent s'ajouter d'immenses annexes

Visiteurs au Potala

La Potala comprend plus de 1000 pièces sur 13 étages. La construction fut entreprise à partir de 1645 par le "grand cinquième Dalaï Lama", autour d'une grotte qui aurait abrité Avalokiteshvara. Les anciens appartements du Dalaï Lama sont très visités et l'objet d'une grande vénération de la part des Tibétains. Les bibliothèques abritent en particulier les livres sacrés que sont le Quanjur et le Tanjur.

Les grands monastères autour de Lhassa

Le monastère de Drepung, le plus vaste du Tibet, est une véritable cité qui, avant la Révolution culturelle, abritait huit mille moines. Il demeure aujourd'hui l'un des temples les plus actifs du pays. C’est ici qu’une fois par an, a lieu le déroulement de la grande Tangkha (plusieurs dizaine de mètres)

déroulement de la grande Tankha à Drepung

Le monastère de Sera, datant de 1419, présente l'apparence d'un petit bourg aux paisibles ruelles et fut l’un des hauts-lieux de l’enseignement de l’école des Bonnets jaunes

 Exercice de rhétorique au monastère de Sera

Le monastère de Tsurphu, grande université monastique des Karma Kagyupa

Puja au monastère de Tsurphu

Le monastère de Ganden, l'un des grands monastères de l'école Gelugpa qui fut, selon la tradition, fondé par le lama Tsong Khapa ainsi que le Bouddha lui-même l'avait annoncé. Remarquablement restauré, il abrite aujourd'hui une communauté de plusieurs centaines moines et novices, après en avoir hébergé plus de quatre mille à l'époque de sa splendeur.

Complexe monastique de Ganden

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Ethnologie

  L'ethnologie (ou anthropologie sociale et culturelle) est une science humaine qui relève de l'anthropologie, et dont l'objet est l'étude explicative et comparative de l'ensemble des caractères sociaux et culturels des groupes humains « les plus manifestes comme les moins avouées »

 

Fondements et objectifs de l’ethnologie

L'ethnologie s'inscrit dans le vaste paysage des sciences humaines. Elle s’appuie sur des études ethnographiques que réalisent les anthropologues.

Cette science récente, moins de deux cents ans, a son origine dans les découvertes des peuples consécutives à l'expansion coloniale des pays occidentaux. Il en est sorti une connotation impérialiste de ségrégation des populations entre civilisée et primitives. Schématiquement, les activités de la sociologie au sens large se répartissent entre l’Ethnographie qui concerne les ethnies primitives et la sociologie qui concerne les peuples « dits » civilisés

À la fin du XXe siècle, cette approche dévalorisante a évolué vers une décomposition où l’Ethnographie (ou anthropologie sociale) concerne une analyse qualitative de l'observation des peuples sur le terrain et la Sociologie concerne l'analyse quantitative basée sur une étude statistique et globale des populations

Les principaux aspects sociaux étudiés au cours des recherches ethnographiques concernent les relations de parenté, le rôle des ancêtres, la connaissance des langues et de la linguistique associée, et l’identification des groupes ethniques.

Géopolitique

Les analyses géopolitiques se basent les études des interactions entre le politique et le territoire, les rivalités ou les tensions qui trouvent leur origine ou leur développement sur le territoire, l’analyse des rapports de forces entre divers acteurs sur un espace plus ou moins défini.

Exemple parmi d'autres : Le développement de la culture industrielle du thé en Asie a eu des conséquences importantes dans les relations géopolitiques mondiales

 

La géopolitique, se doit d'utiliser l'ensemble des connaissances liées à la géographie (géographie physique, mais aussi la géographie humaine dans toutes ses composantes sociales, économiques, culturelles, sanitaires, les matières premières et les flux de ressources), mais aussi utiliser l'histoire, la science politique, etc. 

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