L’Asie central est marquée par les « civilisations des steppes », c’est-à-dire par les cavaliers, dont les peuples de souche mongole furent les plus marquants représentants.
De la Roumanie à la Manchourie, s'étend une aire immense de l’Asie sèche, qui sépare et relie en même temps les grandes civilisations sédentaires de l'Europe, du Moyen-Orient, de l'Inde (asie méridionale) et de la Chine (Asie orientale).
Depuis la haute Antiquité, de nombreux nomades ont peuplé la steppe eurasiatique ; d'origines ethniques diverses, ils ont eu le même comportement guerrier et le même type de culture au point que certains la qualifie de civilisation des steppes.
Pendant plus de trois mille ans, les peuples nomades ont progressé vers le sud-ouest, vers les terres de populations sédentaires déjà présentes.
Ce fut d’abord les tribus de la famille des Scythes de langue indo-européenne (iraniennes) au 1er millénaire av. J.C., puis les Turco-Mongols de langue altaïque à partir du 1er millénaire ap. J.C.
L’Asie central est marquée par les « civilisations des steppes », c’est-à-dire par les cavaliers, dont les peuples de souche mongole furent les plus marquants représentants. De la Roumanie à la Manchourie, s'étend une aire immense de l’Asie sèche, qui sépare et relie en même temps les grandes civilisations sédentaires de l'Europe, du Moyen-Orient, de l'Inde (asie méridionale) et de la Chine (Asie ...
Les populations nomades que je connais, habitent sous des tentes ou des yourtes, ont domestiqué un moyen de transport, le dromadaire ou le cheval. Il est surprenant de constater que dans sa vie de tous les jours, le comportement du Touareg du Tassili, ou du Mongol de l'Altaï est très semblable. Les distances ne se mesurent pas en kilomètres, le temps ne se mesure pas en heures. Ils disent: nous i ...
L'ethnologie (ou anthropologie sociale et culturelle) est une science humaine qui relève de l'anthropologie, et dont l'objet est l'étude explicative et comparative de l'ensemble des caractères sociaux et culturels des groupes humains « les plus manifestes comme les moins avouées »
Fondements et objectifs de l’ethnologie
L'ethnologie s'inscrit dans le vaste paysage des sciences humaines. Elle s’appuie sur des études ethnographiques que réalisent les anthropologues.
Cette science récente, moins de deux cents ans, a son origine dans les découvertes des peuples consécutives à l'expansion coloniale des pays occidentaux. Il en est sorti une connotation impérialiste de ségrégation des populations entre civilisée et primitives. Schématiquement, les activités de la sociologie au sens large se répartissent entre l’Ethnographie qui concerne les ethnies primitives et la sociologie qui concerne les peuples « dits » civilisés
À la fin du XXe siècle, cette approche dévalorisante a évolué vers une décomposition où l’Ethnographie (ou anthropologie sociale) concerne une analyse qualitative de l'observation des peuples sur le terrain et la Sociologie concerne l'analyse quantitative basée sur une étude statistique et globale des populations
Les principaux aspects sociaux étudiés au cours des recherches ethnographiques concernent les relations de parenté, le rôle des ancêtres, la connaissance des langues et de la linguistique associée, et l’identification des groupes ethniques.
L’ethnographie est la science de l'anthropologie dont l'objet est l'étude descriptive et analytique, sur le terrain, des mœurs et des coutumes de populations déterminées. Cette étude était autrefois cantonnée aux populations dites alors « primitives ».
L’ethnographie est l’étape de collecte des données, l’ethnologie le stade des premières synthèses, l’anthropologie
etude de la vie sociale de l'ethnie des Asmat en Papouasie indonésienne
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