Les peuples des plaines sont essentiellement des agriculteurs dès que les conditions climatiques le permettent.
C'est ainsi que les premières civilisations virent le jour dans les vallées riches de l'Indus, du Yang tse ou Huang Ho en Asie, mais aussi par exemple comme le Nil, en Afrique.
Pour protéger leurs champs des agressions les premiers habitants s'unifièrent en village puis des villes. Une culture urbaine fit alors son apparition.
Chez les peuples sédentaires, l'agriculture du riz tiens une place particulière par la nécessité d'organisation de la vie communautaire qu'elle impose pour la réalisation et l'entretien des rizières.
Les habitants des grandes plaines du sud-est asiatique sont essentiellement des agriculteurs qu’il s’agisse des Birmans et des Mons dans la plaine de l’Irrawady, des Thai dans celle de ChaoPraya ou ...
Le milieu naturel La partie continentale est occupée par la Chine et les Corés. La Chine tempérée s'etend de la Sibérie orientale au fleuve Yang Tse, sur une large facade maritime. A l'est derrière ...
Les Han, le plus grand groupe ethnique de Chine, l'emportent en nombre sur les minorités dans toutes les provinces ou régions autonomes de Chine, sauf au Tibet et au Xinjiang. Les Han forment, de ce ...
L'ethnologie (ou anthropologie sociale et culturelle) est une science humaine qui relève de l'anthropologie, et dont l'objet est l'étude explicative et comparative de l'ensemble des caractères sociaux et culturels des groupes humains « les plus manifestes comme les moins avouées »
Fondements et objectifs de l’ethnologie
L'ethnologie s'inscrit dans le vaste paysage des sciences humaines. Elle s’appuie sur des études ethnographiques que réalisent les anthropologues.
Cette science récente, moins de deux cents ans, a son origine dans les découvertes des peuples consécutives à l'expansion coloniale des pays occidentaux. Il en est sorti une connotation impérialiste de ségrégation des populations entre civilisée et primitives. Schématiquement, les activités de la sociologie au sens large se répartissent entre l’Ethnographie qui concerne les ethnies primitives et la sociologie qui concerne les peuples « dits » civilisés
À la fin du XXe siècle, cette approche dévalorisante a évolué vers une décomposition où l’Ethnographie (ou anthropologie sociale) concerne une analyse qualitative de l'observation des peuples sur le terrain et la Sociologie concerne l'analyse quantitative basée sur une étude statistique et globale des populations
Les principaux aspects sociaux étudiés au cours des recherches ethnographiques concernent les relations de parenté, le rôle des ancêtres, la connaissance des langues et de la linguistique associée, et l’identification des groupes ethniques.
Une minorité se définie dans un contexte, non de manière absolue. Elle peut être analysée par rapport à de la population d’une nation, d’une zone géographique, du point de vue des religions, des langues, de la culture ou de la race, de la couleur de peau, des liens de parenté…
L’appréciation en est variable selon le lieu et l’époque.
La supériorité du nombre est vue comme une hiérarchie, une supériorité de la majorité. Dans l’histoire il est peu d’exemple de minorités qui n’aient pas été marginalisées, persécutés, assimilés de force, voire physiquement éliminées.
La minorité ne l’est cependant pas toujours en nombre. Le colonisateur considéra souvent les indigènes comme des races inférieures.
La constitution des états nation moderne à souvent contribué à les révéler et à en aggraver le sort par rapport à la relative tolérance observée autrefois par les Empires. (Comme l’était les Ottomans ou les Austro-Hongrois par exemple)
La définition des minorités dépend des stratégies de la minorité elle-même, soit par son rôle géopolitique, économique, culturel. (Les juifs, les Arméniens,Touareg…)
Une minorité est aussi une catégorie sociale définie par discrimination : les homosexuels, les femmes, les gens du voyage.