Les Somalis vivent dans la région orientale de la corne de l’Afrique, principalement en Somalie, mais également en Éthiopie, au Yémen, au Kenya et à Djibouti.
Ils sont de l’ordre de 19 millions.
Ils parlent une langue couchitique de la famille des langues chamito-sémitique. La majorité sont des musulmans sunites.
Les Somalis ont une organisation sociale clanique. Parmi les clans les plus importants, les Issas sont connus à Djibouti au nord de la Somalie et l’extrême sud est de L’Éthiopie.
Depuis 1991 il n’y a plus d’état digne de ce nom, le pays Somali est livré aux seigneurs de guerre et aux trafiquants en tout genre. Le plus structuré est un état non reconnu internationalement, le Somaliland, au nord. Ce qui reste de l’état somalien se partage en 4 structures instables.
Les Nations unies estiment que 1,7 million de personnes manquent de nourriture à cause de la sécheresse en mai 2019, et que leur nombre va augmenter d'un demi-million d'ici à juillet. Plusieurs dizaines de milliers de personnes sont contraintes d'abandonner leur foyer pour tenter de trouver de la nourriture, venant ainsi s'ajouter aux millions de personnes déjà déplacées dans le pays du fait de la sécheresse et de la guerre. Il s'agit de la pire sécheresse vécue par la Somalie depuis des décennies.
Processus sociaux, créé par opérations volontaristes.
Les religions, les langues, le patrimoine culturel sont des éléménts participants au développement humain.
Le Développement humain en économie est un facteur du développement des sociétés. L'Indice de développement humain (IDH) permet de l'évaluer
L'indice de développement humain (IDH) est un indice statistique composite, créé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) en 1990 pour évaluer le niveau de développement humain des pays du monde. L'IDH se fonde sur trois critères : le PNB par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le niveau d'éducation.
jeune filles de l'ethnie des Bajo en Indonésie en période de Ramadan
Une minorité se définie dans un contexte, non de manière absolue. Elle peut être analysée par rapport à de la population d’une nation, d’une zone géographique, du point de vue des religions, des langues, de la culture ou de la race, de la couleur de peau, des liens de parenté…
L’appréciation en est variable selon le lieu et l’époque.
La supériorité du nombre est vue comme une hiérarchie, une supériorité de la majorité. Dans l’histoire il est peu d’exemple de minorités qui n’aient pas été marginalisées, persécutés, assimilés de force, voire physiquement éliminées.
La minorité ne l’est cependant pas toujours en nombre. Le colonisateur considéra souvent les indigènes comme des races inférieures.
La constitution des états nation moderne à souvent contribué à les révéler et à en aggraver le sort par rapport à la relative tolérance observée autrefois par les Empires. (Comme l’était les Ottomans ou les Austro-Hongrois par exemple)
La définition des minorités dépend des stratégies de la minorité elle-même, soit par son rôle géopolitique, économique, culturel. (Les juifs, les Arméniens,Touareg…)
Une minorité est aussi une catégorie sociale définie par discrimination : les homosexuels, les femmes, les gens du voyage.
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