La culture Arabe a imprimé sa marque par son mode de vie d’origine nomade et par l’existence des lieux de pèlerinage sur la péninsule arabique. Elle est à l’origine de la religion musulmane.
Le monde Arabe, une des composantes du Moyen-Orient, est centré sur l’Arabie, le Golfe arabo-persique et s’étale jusqu’en Afrique du Nord.
Le style de vie dans une région majoritairement désertique était celui du nomadisme et a considérablement évolué depuis les indépendances après la seconde guerre mondiale. L’organisation sociale reste essentiellement tribale. Les razzias étaient autrefois des pratiques courantes pour voler du bétail ou des femmes. Avant lère du pétrole l’économie reposait sur le commerce de villes clés sur la route de l’Asie avec des opérateurs pas toujours arabe, mais aussi membre des peuples chrétiens ou juifs.
Ce système économique comprenait en outre quelques paysans fixés dans les oasis, et des marchands caravaniers qui profitent de la position stratégique de la péninsule arabique.
Après une tentative d’unification dans les années 40 à 70 sous l’impulsion de Nasser, il n’y a pas d’unité politique du monde arabe contemporain, pas même au Maghreb où l’opposition entre le Maroc et l’Algérie est toujours présente. Le monde arabe est confronté de façon de moins en moins unie a son impuissance face à Israël et à l’antagonisme chiite/sunnite partout où il y a des arabes chiites (ils sont majoritaires en Irak) ainsi qu’à la remontée des fondamentalistes et aux dérives djihadistes. La réussite spectaculaire grâce au gaz et au pétrole de certains émirats ne cache pas les dérives dues à la corruption et la mauvaise gouvernance.
Pour le moment au proche orient le seul ciment entre les peuples arabes est la peur de la domination Iranienne et Turque. Au Maghreb, les trois pays poursuivent leurs politiques propres.
en savoir plus sur: le peuple arabe
Une minorité se définie dans un contexte, non de manière absolue. Elle peut être analysée par rapport à de la population d’une nation, d’une zone géographique, du point de vue des religions, des langues, de la culture ou de la race, de la couleur de peau, des liens de parenté…
L’appréciation en est variable selon le lieu et l’époque.
La supériorité du nombre est vue comme une hiérarchie, une supériorité de la majorité. Dans l’histoire il est peu d’exemple de minorités qui n’aient pas été marginalisées, persécutés, assimilés de force, voire physiquement éliminées.
La minorité ne l’est cependant pas toujours en nombre. Le colonisateur considéra souvent les indigènes comme des races inférieures.
La constitution des états nation moderne à souvent contribué à les révéler et à en aggraver le sort par rapport à la relative tolérance observée autrefois par les Empires. (Comme l’était les Ottomans ou les Austro-Hongrois par exemple)
La définition des minorités dépend des stratégies de la minorité elle-même, soit par son rôle géopolitique, économique, culturel. (Les juifs, les Arméniens,Touareg…)
Une minorité est aussi une catégorie sociale définie par discrimination : les homosexuels, les femmes, les gens du voyage.
Un pays est un territoire habité, constituant une entité géographique et humaine. « Pays » est moins précis et plus neutre qu’ « État »
Nous avons 164 invités et aucun membre en ligne