Le sino-tibétain (ST) est divisé généralement en deux branches qui auraient divergé il y a 6000 ans, à une période à laquelle les archéologues identifient la formation de ce qu'ils appellent 'la Chine initiale' (source : Chang 1986) :
les langues sinitiques et
les langues tibéto-birmanes (TB).
Sous rubrique
Langues Sinitiques Les langues sinitiques,font partie du groupe sino-tibétain et comprennent sept sous groupes : chinois du nord ou mandarin, xiang, gan, wu, min, kejia (hakka), yue (cantonais)
langues Tibéto-birmane Le Tibéto-Birman regroupe quelques 250 langues, dont le tibétain, le birman, le lolo, le jingpo, etc.
Les protolangues d'Asie orientale Les protolangues ou branches, regroupent les familles de langues et langues principales comme suit: Sino-tibétaines Austroasiatiques Tai-Kadai Hmong-mien (Miao-Yao) Austronésiennes (souvent classée séparément) Le sino-tibétain Le sino-tibétain est divisé généralement en deux branches qui auraient divergé il y a 6000 ans, à une période à laquelle les archéologues ...
Le terme individualisme sert à désigner toute théorie, doctrine ou attitude qui consiste à privilégier les intérêts, les droits et les valeurs de l'individu par rapport à tous les groupes sociaux, que ce soit la famille, le clan, la corporation, la communauté, la société, etc. L'intérêt individuel est considéré comme supérieur à l'intérêt général.
Fruit d'une pensée, élaborée depuis la Renaissance, l'individualisme est un projet de société dans lequel chacun devrait trouver les meilleures conditions de sa réalisation et de son épanouissement.
En politique, l'individualisme accorde la primauté de l'individu, à l'initiative privée et souhaite réduire l'Etat au strict minimum (libéralisme, libertarianisme), voire à rien (individualisme anarchiste). Il s'oppose au nationalisme, à l'étatisme, au socialisme, au collectivisme, au communisme. Il peut aussi s'opposer à la démocratie si elle amène à prendre des décisions qui soient contraires aux intérêts individuels.
En sociologie, l'individualisme met en avant les droits et les responsabilités de l'individu, considérant que les institutions sociales n'existent que pour le bien de l'individu. Il s'oppose au conformisme, au panurgisme.