Le mandarin, est une catégorie des langues chinoises parlée dans le nord et le sud-est de la Chine continentale. C'est celle qui compte le plus grand nombre de locuteurs dans le monde. Il s'écrit au moyen des sinogrammes (caractères chinois composés d'idéogrammes et de phonogrammes) et on le transcrit maintenant le plus souvent en pinyin (système de transcription phonétique en écriture latine).
Même s'il est aujourd'hui enseigné à tous les Chinois, les Chinois plus âgés ne parlent pas tous le mandarin mais d'autres langues chinoises, comme le cantonais. Le mandarin, que les dirigeants communistes ont désigné comme la langue véhiculaire de leur nation entière dans une version standardisée, était d'abord celle de communautés chinoises du Nord du pays. Bien que possédant aussi une ancienne histoire, il ne dérive pas de la langue écrite classique, littéraire et artificielle, abandonnée en 1919 après avoir été utilisée comme langue écrite officielle pendant plus de deux mille ans. En effet, le mandarin actuel procède d'une langue vernaculaire parlée.
Comme les autres langues chinoises, c'est une langue à tons. Elle utilise quatre tonèmes, qui changent le sens du mot, haut et plat, montant, descendant légèrement puis remontant (modulé) et descendant.
Processus sociaux, créé par opérations volontaristes.
Les religions, les langues, le patrimoine culturel sont des éléménts participants au développement humain.
Le Développement humain en économie est un facteur du développement des sociétés. L'Indice de développement humain (IDH) permet de l'évaluer
L'indice de développement humain (IDH) est un indice statistique composite, créé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) en 1990 pour évaluer le niveau de développement humain des pays du monde. L'IDH se fonde sur trois critères : le PNB par habitant, l'espérance de vie à la naissance et le niveau d'éducation.
jeune filles de l'ethnie des Bajo en Indonésie en période de Ramadan
Une minorité se définie dans un contexte, non de manière absolue. Elle peut être analysée par rapport à de la population d’une nation, d’une zone géographique, du point de vue des religions, des langues, de la culture ou de la race, de la couleur de peau, des liens de parenté…
L’appréciation en est variable selon le lieu et l’époque.
La supériorité du nombre est vue comme une hiérarchie, une supériorité de la majorité. Dans l’histoire il est peu d’exemple de minorités qui n’aient pas été marginalisées, persécutés, assimilés de force, voire physiquement éliminées.
La minorité ne l’est cependant pas toujours en nombre. Le colonisateur considéra souvent les indigènes comme des races inférieures.
La constitution des états nation moderne à souvent contribué à les révéler et à en aggraver le sort par rapport à la relative tolérance observée autrefois par les Empires. (Comme l’était les Ottomans ou les Austro-Hongrois par exemple)
La définition des minorités dépend des stratégies de la minorité elle-même, soit par son rôle géopolitique, économique, culturel. (Les juifs, les Arméniens,Touareg…)
Une minorité est aussi une catégorie sociale définie par discrimination : les homosexuels, les femmes, les gens du voyage.