L’Asie central est marquée par les « civilisations des steppes », c’est-à-dire par les cavaliers, dont les peuples de souche mongole furent les plus marquants représentants.
De la Roumanie à la Manchourie, s'étend une aire immense de l’Asie sèche, qui sépare et relie en même temps les grandes civilisations sédentaires de l'Europe, du Moyen-Orient, de l'Inde (asie méridionale) et de la Chine (Asie orientale).
Depuis la haute Antiquité, de nombreux nomades ont peuplé la steppe eurasiatique ; d'origines ethniques diverses, ils ont eu le même comportement guerrier et le même type de culture au point que certains la qualifie de civilisation des steppes.
Pendant plus de trois mille ans, les peuples nomades ont progressé vers le sud-ouest, vers les terres de populations sédentaires déjà présentes.
Ce fut d’abord les tribus de la famille des Scythes de langue indo-européenne (iraniennes) au 1er millénaire av. J.C., puis les Turco-Mongols de langue altaïque à partir du 1er millénaire ap. J.C.
L’Asie central est marquée par les « civilisations des steppes », c’est-à-dire par les cavaliers, dont les peuples de souche mongole furent les plus marquants représentants. De la Roumanie à la Manchourie, s'étend une aire immense de l’Asie sèche, qui sépare et relie en même temps les grandes civilisations sédentaires de l'Europe, du Moyen-Orient, de l'Inde (asie méridionale) et de la Chine (Asie ...
Les populations nomades que je connais, habitent sous des tentes ou des yourtes, ont domestiqué un moyen de transport, le dromadaire ou le cheval. Il est surprenant de constater que dans sa vie de tous les jours, le comportement du Touareg du Tassili, ou du Mongol de l'Altaï est très semblable. Les distances ne se mesurent pas en kilomètres, le temps ne se mesure pas en heures. Ils disent: nous i ...
nom collectif qui désigne l’ensemble des habitants d’un lieu géographique (pays, région, ville…) ex la population du Yunnan
Une minorité se définie dans un contexte, non de manière absolue. Elle peut être analysée par rapport à de la population d’une nation, d’une zone géographique, du point de vue des religions, des langues, de la culture ou de la race, de la couleur de peau, des liens de parenté…
L’appréciation en est variable selon le lieu et l’époque.
La supériorité du nombre est vue comme une hiérarchie, une supériorité de la majorité. Dans l’histoire il est peu d’exemple de minorités qui n’aient pas été marginalisées, persécutés, assimilés de force, voire physiquement éliminées.
La minorité ne l’est cependant pas toujours en nombre. Le colonisateur considéra souvent les indigènes comme des races inférieures.
La constitution des états nation moderne à souvent contribué à les révéler et à en aggraver le sort par rapport à la relative tolérance observée autrefois par les Empires. (Comme l’était les Ottomans ou les Austro-Hongrois par exemple)
La définition des minorités dépend des stratégies de la minorité elle-même, soit par son rôle géopolitique, économique, culturel. (Les juifs, les Arméniens,Touareg…)
Une minorité est aussi une catégorie sociale définie par discrimination : les homosexuels, les femmes, les gens du voyage.
Nous avons 148 invités et aucun membre en ligne